Une accro à la chirurgie esthétique a admis que, malgré les mises en garde de sa famille, elle a dépensé près de 175 000 $US (165 000 € ou 240 000 $CA) pour de nombreuses opérations.
Récemment, sur la chaîne YouTube truly, Nicole Zavala s’est exprimée sur son addiction à la chirurgie plastique. La jeune femme admet dans le clip qu’elle aime changer constamment son apparence et que, pour fêter ses 30 ans, elle vient de dépenser 20 000 $US pour des produits de remplissage et sa quatrième augmentation mammaire.
Elle poursuit en disant que depuis que son petit ami Demetrius Meach a été tué il y a cinq mois, elle traverse une période très difficile. Elle affirme que les piercings, les tatouages et les produits de remplissage l’aident à se sentir mieux.
Nicole affirme qu’elle préfère paraître fausse plutôt que naturelle et que les gens font souvent des remarques sur son apparence. D’autres la comparent même à une poupée Barbie ou Bratz.
Elle poursuit : « Je me fiche éperdument de ce que pensent les gens. Ne visitez pas ma page si vous ne l’aimez pas ».
Nicole affirme qu’elle rencontre souvent de l’hostilité en raison de ses chirurgies esthétiques.
« Je veux que les gens sachent que j’ai vraiment un bon cœur », ajoute-t-elle. « Je suis très modeste. Je ne me crois pas supérieure aux autres. »
Nicole aime se faire refaire les lèvres, ce qui est l’un de ses traitements préférés.
« J’adore mes lèvres et j’adore les produits de remplissage », s’exclame-t-elle. « J’estime le coût de toutes mes opérations à près de 175 000 $. Je suis définitivement accro à la chirurgie plastique. »
L’utilisatrice d’Instagram, née en Colombie, publie souvent des images provocantes d’elle-même où l’on voit ses courbes améliorées par la chirurgie.
Nicole affirme que si elle pouvait revenir en arrière, elle se dirait : « Si tu n’aimes pas ton apparence, change-la tout simplement ».
Elle poursuit en disant qu’elle ne s’inquiète pas du vieillissement « puisque je ne vais pas paraître vieille ».
« Je ne pense pas que je vais m’arrêter de sitôt », dit-elle en souriant. « Et lorsque j’approcherai de la quarantaine, je multiplierai par deux ce que je fais actuellement. »
