Vous avez envie de quelque chose de bizarre, mais de luxueux ? Vous avez quelques dizaines de milliers de dollars en réserve ? Et bien, ces lustres géants en forme de girafe sont peut-être ce que vous cherchez ! Pour les amateurs d’intérieurs uniques et décalés, ces girafes avec un lustre dans la bouche vont assurément apporter une touche exotique à votre décor.
Baptisés « Giraffe in love » (girafe amoureuse), ces lustres sont le fruit de l’imagination du designer Marcantonio Raimondi Malerba et du fabricant Qeeboo. Les girafes représentent l’ironie et la légèreté : « La girafe est amoureuse, mais elle ne le sait pas encore, car son coeur est loin de sa tête et elle vit l’amour d’un coeur léger », peut-on lire dans la description du produit.
« C’est une girafe rêveuse qui tient un lustre classique de style Marie-Thérèse », écrit le détaillant 1stdibs sous la description du produit. Ces girafes amusantes servent de lustre et peuvent aussi apporter beaucoup d’excentricité à n’importe quel intérieur.
Conçues par un artiste italien, ces girafes sont proposées en trois tailles différentes. La plus grande mesure 4 mètres de haut, soit à peu près la taille d’une jeune girafe. Ensuite, il y a un lustre de 173 cm qui ne comprend que le cou et la tête de la girafe. La plus petite version de la girafe amoureuse mesure 100 cm de haut.
Les lustres peuvent être placés aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur, car ils sont résistants au vent et à l’eau. À l’exception de la plus petite version de la girafe amoureuse qui est en plastique, les deux autres sont en fibre de verre.
Les girafes ont une apparence luxueuse et raffinée, mais leur prix est également très élevé. Si vous disposez de 40 000 dollars, vous pouvez vous offrir la très grosse girafe amoureuse sans problème. La girafe murale qui ne comprend que le cou et la tête coûte environ 4 000 dollars et se décline en noir ou en blanc. La très petite girafe se décline en plusieurs couleurs (noir, blanc, gris, rose poussiéreux, sable chaud et sable froid) et coûte 540 dollars.
