Le 21 juillet, les cinéphiles ont célébré la sortie très attendue du nouveau film Barbie dans les salles de cinéma. Le film a suscité un immense engouement et des éloges de la part des fans et des critiques de l’industrie, marquant un jour important pour tous les amoureux de Barbie.
Cependant, tous les spectateurs n’ont pas partagé le même enthousiasme. Une mère inquiète, Juhi Parmar, elle-même actrice de renom, s’est rendue sur les réseaux sociaux pour exprimer sa détresse après avoir regardé le film Barbie avec sa fille de dix ans, Samairra.
Du contenu inapproprié inattendu
Dans une lettre ouverte adressée aux créateurs du film, Mme Parmar a exprimé sa déception quant au contenu du film, qu’elle a qualifié d’« inapproprié ». Elle a révélé qu’à peine dix minutes après le début du film, elle a été confrontée à un langage explicite et à des connotations sexuelles, ce qui l’a plongée dans un état d’anxiété et de détresse. Elle a rapidement pris la décision de quitter la salle de cinéma afin de protéger sa petite fille d’une exposition à ce type de contenu.
Mme Parmar a soulevé une question pertinente concernant la classification 13 ans et plus du film, se demandant s’il convenait réellement à des enfants aussi jeunes. Elle a souligné qu’un film qui revêt une telle importance dans la vie d’un enfant ne devrait pas contenir d’éléments inappropriés pour un jeune public.
Les responsabilités des salles de cinéma
L’actrice s’est également interrogée sur le rôle des salles de cinéma dans la garantie d’un contenu approprié pour les jeunes spectateurs. Mme Parmar a souligné l’absence de rappels ou de vérifications de la part des cinémas pour informer les parents de la classification et du contenu du film. Elle a suggéré que les salles de cinéma assument davantage de responsabilités pour protéger les jeunes spectateurs.
La mère a lancé des accusations audacieuses, affirmant que les réalisateurs du film avaient délibérément induit les parents en erreur par le biais de leurs stratégies de marketing. Elle a affirmé qu’aucun matériel promotionnel ne faisait allusion au contenu inapproprié du film, laissant croire aux parents qu’il convenait à tous les âges. Cette fausse représentation présumée a ajouté à la déception des parents qui se sont trouvés confrontés à des situations inconfortables lors de la projection.
Le souhait d’une Barbie parfaite
Mme Parmar a exprimé son regret d’avoir exposé sa fille à un contenu aussi inapproprié et a fait part de son désir de conserver l’image d’une Barbie parfaite pour son enfant. Sa lettre sincère a ouvert le débat sur la responsabilité des cinéastes, des salles de cinéma et des spécialistes du marketing dans la garantie d’un contenu approprié pour le jeune public, les invitant à faire preuve de plus de transparence et de prudence dans leur approche.